Jeanne Michel Jarret, c’est un nom qui défie les conventions, un équilibre fragile entre héritage et rébellion. Un prénom choisi pour échapper aux cases binaires, un nom de famille parfois difficile à porter – surtout quand on est végane et que les mots font plus mal qu’un astéroïde. Mais derrière ces détails, tout semble indiquer que Jeanne est l’héritier·e d’une lignée musicale légendaire.
Enfant des astres et des synthétiseurs, Jeanne Michel Jarret fuit les étiquettes et les attentes terrestres. Iel trouve refuge dans l’espace, là où le bruit des jugements ne porte pas, là où l’immensité permet enfin de respirer. Sa musique, c’est une tentative de recréer ce vide protecteur, mêlant nappes vaporeuses, rythmes cosmiques et textes minimalistes, comme des fragments de journal de bord d’un·e astronaute égaré·e.
Avec son premier album, « Les harmonies du vide », Jeanne Michel Jarret compose une odyssée sonore où l’électronique rencontre l’introspection. Ses mélodies, à la fois douces et hypnotiques, parlent de déracinement, d’identité et de la difficulté d’habiter pleinement ce monde.
Sur scène, Jeanne Michel Jarret est une présence énigmatique, presque spectrale. Les lumières rappellent des aurores boréales, les sons donnent l’impression de flotter en apesanteur, et sa voix, à la fois fragile et puissante, semble venir d’un autre univers.
Iel est une fugitive des étoiles, un·e voyageur·euse de l’infini, qui nous invite à dépasser les frontières terrestres pour explorer les galaxies de notre propre être.
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