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Ping Pong sont des émissions diffusées dans le cadre du live chaque samedi matin vers 09 heures30 sur Saravadio. Interviews, reportages et digressions locales et:ou musicales. Music won't save you from anything questionne notre rapport à la musique , aux souvenirs, à la mémoire individuelle ( en tant que parcours d'une vie) et collective (en tant que génération) .  CoverMe est une émission mensuelle , consacrée aux reprises, détournées voire retournées. Loop In est une émission mensuelle , consacrée aux musiques ambientes, drone , et experimentales  ça va craquer est une émission bimensuelle , 100% vinyles ca va PAS craquer son alter ego 100% cd OMNI est une émission mensuelle , elles est consacrée aux objets musicaux non identifiés. Vacances j’oublie tout est une série de mix estivaux saison 2024 We Hate rock N roll sont des émissions réalisées en 2020-2021 pour Radio Scarpe Sensée .  Les mix réservés , sont exclusivement réservés aux lecteurs du mensuel du  Gobelin  . Mouvement Statik est une émission bi mensuelle , consacrée à l'ambient , field recordings , electronica et new age .  Les chansons météorologiques sont les titres des lauréats de  notre concours de cjanson météorologiques intitulé météo et tes bas . Trois lauréats diffusés dans les matinales du mardi , mercredi et jeudi , puis le soir à 17 heures  , et bien évidemment disponible en replay /podcasts ici même .  https://saravadio.fr Soutenez-nous sur Tipeee !

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Roule Galette #07 - Simple minds , Empires & dance

SIMPLE MINDS : Empires & Dance

punk rock dance GIF

 

 

Cette semaine dans Roule Galette, on revient à une époque où Simple Minds n’avait rien de FM, ni d’arène rock, ni de tubes radiophoniques. Empires and Dance est leur troisième album, sorti en 1980 sur Arista, et c’est probablement le plus froid, le plus radical et le plus européen de leur discographie.
C’est un disque qui sent encore la sueur des clubs post-punk, mais qui regarde déjà vers la sophistication électronique et les paysages industriels d’une Europe en mutation. Un disque qui aurait pu sortir sur Factory ou sur Mute, tant il évoque à la fois Joy Division, Magazine, Ultravox période John Foxx, et le krautrock motorik de Neu!.

Jim Kerr et ses compagnons y jouent une musique de transe urbaine : section rythmique exceptionnellement inventive , guitares tranchantes, synthés menaçants, voix sombre   à moitié halluciné. Tout y semble à la fois dansant et désincarné, obsédé par la répétition, la vitesse, la tension.
C’est l’un de ces albums-ponts entre le rock et l’électronique, entre le charnel et le mécanique.

Enregistré en une dizaine de jours dans un studio gallois, produit par John Leckie (Radiohead, Marc Seberg), Empires and Dance est aussi le disque où Simple Minds trouve vraiment sa personnalité — celle d’un groupe européen, plus influencé par Berlin que par Londres.

Si vous pensiez encore que simple minds ne se résumait qu’à un titre, le discutable Don’t you , il est grand temps pour vous d’écouter ce roule galette consacré à leur album de 1980 , empires and dance . 

 

Nous démarrons cette semaine avec le glacé et  sombre today i died again : Jim Kerr parle ici de l’aliénation individuelle, de la perte de mémoire et d’identité,et de la chute des systèmes (politiques, sociaux, moraux).C’est une chanson froide, presque dystopique. Simple Minds y dépeint un monde vidé de sens, où mourir chaque jour est devenu normal.
C’est à la fois poétique, triste, et d’une lucidité glaçante et surtout terriblement d’actualité . 

Celebrate” parle d’un monde déshumanisé, où :l’amour est rare, les gens vivent comme des soldats ou des automates,la société célèbre la surface plutôt que le sens,

et la seule chose qu’il reste à “célébrer”, c’est la survie elle-même.C’est une critique à la fois politique et existentielle : Simple Minds montre ici une humanité moderne prise entre le confort matériel et le vide spirituel.

Capital City décrit la vie urbaine comme un organisme vivant et impitoyable, où les habitants suivent un rythme mécanique, parfois violent, et où l’identité individuelle se fond dans la pulsation de la ville.C’est un portrait abstrait et sensoriel de la métropole moderne, à la fois fascinante et oppressante.

Thirty Frames a Second est une méditation sur la régression, la perte d’identité et la désorientation dans le monde moderne. Le narrateur voit sa vie et la société revenir en arrière comme un film inversé, confronté à l’angoisse, au chaos et à la fragilité de l’existence.

“This Fear of Gods” plonge dans l’angoisse et l’aliénation de l’homme face au divin. La peur des dieux n’est pas seulement celle du jugement, mais la désillusion éprouvée lorsqu’on attend un dieu qui ne se manifeste pas comme espéré. Les images de violence, de luxure et de souffrance reflètent alors les conséquences de la condition humaine sous le regard d’un sacré absent ou inattendu. La répétition des voix, des cris et des visions traduit cette angoisse intime et universelle, rappelant que l’homme porte seul la responsabilité de ses illusions et de ses actes.

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Ping Pong #38 - actualité médias , Interview Hervé Dujardin FRANF

La Fédération des radios associatives du Nord (FRANF) tire la sonnette d’alarme. Dans le cadre du projet de loi de finances 2026, 16 millions d’euros pourraient être supprimés du Fonds de soutien à l’expression radiophonique, soit 44% du budget réparti entre 740 radios locales. Quel impact sur l’avenir de ces stations et sur la professionnalisation des radios associatives ? Nous avons interrogé, Hervé Dujardin ,  le président de la Fédération qui partage ses inquiétudes et sa vision pour l’avenir . 

 

franf communiqué de presse.jpg

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Indiedrome #05

Playlist Indiedrome #05

 Lets Go Reaction GIF by Mason Ramsey

 

Mat Watson: Another Tomorrow
« Reflective Hits » (Eternal Music Projects)

Mat Watson: Offworld
« Reflective Hits » (Eternal Music Projects)

Mat Watson: Repeat Transmission
« Reflective Hits » (Eternal Music Projects)

Thanos Chrysakis: Septet
« Music for Trombones, Bass Clarinets & Horn » (Aural Terrains)

Larsen + Alessandro Sciaraffa: edit 2
« Golden Leaf » (Important)

Fabrizio Modonese Palumbo: Ekphrasis
« ELP » (Dissipatio)

Milan Knizàk: extract
« Broken Music » (Sub Rosa)

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Alternative(s) #02

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Alternative(s)  2

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Black And White Art GIF by Jimmy Arca

 

Catherine Le Forestier - Ses Pieds

Grand Veymont - Bois Barbu

Gus Gus - Polyesterday

Pole - Round Two

Dj Prime Cuts - Our Time Is Now (Dub Version) 

Ruth - Polaroïd/Roman/Photo (Cotton Wool mix 1984)

Kangding Ray - Les Marches

Sanam - Bell

Collage - Uni, Tule Silma Peale! (Come Ye Dreams )

Brigitte Fontaine - Baby Boum Boum

Pierre Vassiliu - L’Oiseau

Frankie Goes to Hollywood - The World Is My Oyster (Including Well, Snatch of Fury)    

Aksak Maboul - Tout a une Fin (short)

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WHRNR 28/06/2021

WHRNR  28/06/2021

PLAYLIST

Canadian Cd GIF

 

Jean Yanne , J’aime pas le rock

Matthias Puech, work song

Jean Louis Costes , l’organiste FWV41 , N°5 in C minor

Jacques Douai , c’est bientôt le temps

Jon Hassell , solaire

The Pogues , the old man drag

Francois puyalto  , sa dernière cigarette

Tim Buckley, dream letter

Simon & Garfunkel , the dangling conversation

James Taylor , fire and rain

Kings of convenience , fever

For carnation , preparing to receive you

Lungfish, black helicopters

Nothing , dig

Whirr, mumble

Spindrift , surround sound

Novak, blue chinook

Disco inferno , in shark water

Turing machine , do,’t mind if I don’t

Jon spencer blues explosion , afro

Gilbert défilez, les scandales

Winter severity index , paraphilia

Schonwald , triangle

Dissemblance, capture

L.F.T, stay away from the light

Hugh mundell , let’s all unite

The impressions , sometimes I wonder

July skies , swallows and swifts

Arthur Russell , soon to be innocent fun /let’s see

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