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Curiosités Sonores #03 - La géopoésie d'Anne Versailles

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Lady Wauq, née à Wingles, dans le Pas-de-Calais, est l’incarnation de la réussite sans compromis. Élevée dans une région où rien n'est censé briller, elle a su se frayer un chemin vers la gloire avec un seul credo : l'effort personnel avant tout. Lady Wauq est la preuve vivante qu'on peut tout réussir tant qu’on a la bonne attitude, un réseau influent et une capacité à prendre ce qui vous revient de droit.

"La vie, c’est pas un dé, c’est un jeu de cartes et je suis née avec les bonnes." Fière de ses origines modestes, elle les brandit comme une carte de victoire, pour affirmer que la réussite n’a rien à voir avec le déterminisme social, mais tout avec la capacité à prendre sa chance, à montrer sa force et à ne jamais rien attendre de personne. "Il faut savoir se relever et avancer, même quand la vie essaie de te freiner avec des petites crises comme quand j’ai perdu mon talon à la fashion week. »

L'influenceuse n’a qu’une devise : "L’important c’est de briller, peu importe le décor." Elle n’a jamais caché son désir de faire briller son nom, ni de se positionner comme une référence pour celles et ceux qui, comme elle, croient en leur destinée. Lady Wauq, c’est un cocktail d’ambition débridée et de gestion personnelle sans faille. Pas de place pour les faiblesses ou les questions inutiles : "C’est à toi de faire le show."

Elle revendique son ascension fulgurante comme une preuve de travail acharné, tout en assumant totalement ses choix : des valeurs qui la placent à des années-lumière de ceux qui attendent des réformes ou des discussions sur la répartition des richesses. "C’est à chaque individu de saisir sa chance. Je n’attends rien de la politique, je suis apolitique,  je m’en sors toute seule."

Elle se positionne comme la voix des self-made warriors, qui n’ont pas besoin des autres pour réussir. Et en cela, elle trouve son modèle dans des personnalités comme Gérald Darmanin, dont elle apprécie la manière dont il incarne la réussite par l’effort , suivi  d’un peu de réconfort. 

Lady Wauq, que ses détracteurs de gauche extrême  aiment surnommer Lady Wank tandis que ceux de droite la rebaptisent Lady Woke ,  Lady Wauq n’en a cure, car c’est avant tout une femme de convictions, qui défend une vision sans compromis du monde : "Le succès, ça se mérite. Ceux qui attendent qu’on les aide, ils attendront longtemps." Pas de place pour le détournement du capitalisme ni pour la culpabilité des autres. "C'est à chacun de s'aider lui-même, ce n’est pas à la société de te tendre la main."

Pour elle, tout est une question de volonté et de réalisme. Et si le monde n’est pas parfait, Lady Wauk sait qu'il faut être prêt à faire face aux épreuves sans se laisser abattre. "La pluie, c’est juste une occasion pour briller encore plus sous les projecteurs."

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Emission Loop In n°12

Artiste : Cory Allen Titre : Divines Waves  Album : The Source Label : Punctum Records

Artiste : Ann Eysermans  Titre : Prelude for Diesel Locomotive and  Harp  Album : For Trainspotters Only  Label : Cortizona Records

Artiste : Otto Lindholm  Titre : R8g Album : Forty Two Label : Totallism Records

Artiste : Steve Roden Titre : Two Hands Submerged in Water Album : A Big Circle Drawn by Little Hands Label : Itu Records

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Julie Flétry, de son vrai nom Juliette Fléturenbourg, est une ancienne étoile de la variété française, connue pour son hit unique de 1984, "Amour en Nylon", une ode synthétique à la mode des collants fluo. Sa carrière, aussi éphémère qu’une mousse de bain, s’est arrêtée brutalement après un incident mémorable : lors d’un concert à Montcuq, son body pailleté a pris feu sous l'effet des projecteurs trop puissants. Depuis, elle s'est autoproclamée "l'artiste la plus brillante (au sens littéral) de sa génération".

Après des décennies dans l’oubli, Julie revient à 75 ans , convaincue que le monde attend son "retour triomphal". Arborant un look mêlant nostalgie eighties ;  elle déclare fièrement :
"La jeunesse, c'est dans le cœur, et avec assez de Botox, aussi sur le visage."

ulie Flétrie, de son vrai nom Juliette Fléturenbourg, est une ancienne étoile de la variété française, connue pour son hit unique de 1984, "Amour en Nylon", une ode synthétique à la mode des collants fluo. Sa carrière, aussi éphémère qu’une mousse de bain, s’est arrêtée brutalement après un incident mémorable : lors d’un concert à Montcuq, son body pailleté a pris feu sous l'effet des projecteurs trop puissants. Depuis, elle s'est autoproclamée "l'artiste la plus brillante (au sens littéral) de sa génération".

Après des décennies dans l’oubli, Julie revient à 75 ans , convaincue que le monde attend son "retour triomphal". Arborant un look mêlant nostalgie eighties et gants pour dissimuler ses taches de vieillesse, elle déclare fièrement :
"La jeunesse, c'est dans le cœur, et avec assez de Botox, aussi sur le visage."

Pendant sa longue pause artistique, Julie a exploré de nombreuses carrières alternatives, incluant la création de parfums aux noms évocateurs comme "Fleur de Ride" et "Crépuscule Électrique". Elle a également animé un télé-achat en 1993, où elle vendait des cassettes VHS de son propre karaoké. Bien que la critique ait qualifié son émission de "gênante et inutile", elle persiste à croire qu’elle a "changé la vie de milliers de Français".

Aujourd’hui, Julie s'apprête à chanter "Le temps s'eface", sa "nouvelle œuvre intemporelle". Elle envisage une tournée baptisée "La Gloire Après Minuit", qui passera par des salles prestigieuses comme la salle des fêtes de Foufflin et le parking de  l'Intermarché de Saint Pol Sur Ternoise . Malgré des critiques parfois acerbes, Julie assure qu’elle est prête : "Mon public est là, dans mon cœur, ou sur Facebook. Peu importe, ils reviendront. Moi, je suis éternelle."

Son équipe de communication précise que Julie, malgré ses lunettes double foyer et son appui sur un déambulateur décoré de strass, peut encore "envoyer du lourd sur scène". Il ne reste plus qu’à espérer que ce retour, entre nostalgie et catastrophe annoncée, laisse une empreinte…

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tracklist émission #5

Vagantpoesi "ceaseless in Florence"

Tim six "sleeping in the forest"

Star maze "longing for home"

Searchlight "Lomé some thoughts in an unholy land"

Rodrigo Passannanti "second skin"

Robert Scott Thompson "repose"

Relief "an open green field"

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